Si vous avez perdu des points sur votre permis de conduire, ce n’est pas forcément une fatalité. En effet, vous pouvez effectuer un stage de récupération de points de permis qui vous permet d’en regagner. (suite…)

Les utilisateurs d’iPhone restent chez Apple pour plusieurs raisons, dont le produit en lui-même. Cependant, cela ne veut pas dire qu’ils aiment (et tolèrent) toutes les applications d’Apple. Bien que ce soit sortir de l’écosystème mis en place par Apple, entre ses différents produits, il est possible de se passer de presque toutes les applications natives de la marque à la pomme.
Dans cet article, nous allons vous montrer comment avoir un iPhone avec toutes les fonctions et tous les services de Google.

Pourquoi choisir l’iPhone au détriment d’un Google Pixel ou d’un constructeur Android ?

Pour plusieurs raisons que nous allons vous présenter :

• L’iPhone est un produit haut de gamme. Il génère une image de marque sérieuse. Aujourd’hui, avoir un iPhone, ce n’est plus passer pour un pigeon. C’est faire le choix d’un produit de qualité. C’est opter pour des produits puissants, optimisés et créés avec passion et du soin. On le voit sur les derniers iPhone 11 et iPhone 11 Pro qui sont sortis, ce sont des produits d’excellente qualité qui vont parfaitement convenir à la fois aux professionnels, mais également au grand public.
• L’iPhone est un produit sûr. Il n’y a pas de faille comme on pourrait l’avoir sur Android. Les applications installées sur l’App Store sont toutes vérifiées et contrôlées. Il s’agit d’un des meilleurs produits qui puissent exister à l’heure actuelle.
• L’iPhone respecte votre vie privée. Ce n’est pas comme Android qui se permet d’interroger votre smartphone, sans que vous le sachiez, pour connaître toute votre vie (et non plus seulement les informations que vous partagez volontairement). Le système iOS a été conçu pour protéger les utilisateurs. Tout le système a été pensé pour ne pas communiquer avec les serveurs d’Apple. Ainsi, ils n’ont pas accès à vos données personnelles et ils ne les revendent pas.
• L’iPhone peut coûter « cher » aux yeux des particuliers et des professionnels. Mais ce coût est relatif par rapport à la concurrence. Google, avec son système Android, peut se permettre de vendre des smartphones moins chers… puisqu’au final, en revendant les données d’utilisation récoltées tous les jours sur ses utilisateurs, il va combler la différence. Apple n’utilise pas ce procédé.
• L’iPhone ne s’achète pas sur un coup de tête. C’est un achat qui doit être mûrement réfléchi parce que c’est l’opportunité de s’enfermer dans une bulle (une prison dorée en quelques sortes).

Depuis la fin de l’année 2018 et le début de l’année 2019, la société de Tim Cook a pris un virage particulièrement sensible : s’imposer sur le marché des services. Les smartphones, à l’heure actuelle, connaissent une baisse d’achat de la part des utilisateurs. Le marché commence à se saturer. Que vous ayez le dernier iPhone ou l’iPhone 6S, Apple met à jour son système, iOS pour tous les smartphones existants à l’heure actuelle. Vous pourrez conserver un tel téléphone pendant au moins 4 à 5 ans, ce qui n’est pas le cas chez Android. Les constructeurs ont du mal à maintenir à jour des téléphones sortis il y a longtemps…
Nous allons vous présenter comment vous pouvez faire de votre iPhone un smartphone Google sous iOS, très facilement.

L’installation des applications et des services Google

Avant toute chose, il faudra se rendre sur l’App Store et procéder au téléchargement de l’ensemble des applications de la suite Google. Pas de panique : tout est gratuit chez Google.
Pour vous aider, voici quelques applications qui peuvent être installées :

• Google Chrome pour remplacer Safari, le navigateur Internet,
• Google Duo pour remplacer FaceTime, le logiciel de Visio-conférence,
• Google Agenda pour remplacer Calendrier,
• Google Photo pour remplacer Photos,
• Gmail pour remplacer Apple Mail ( tout savoir sur SFR Mail !),
• Google Play Music ou Youtube Music pour remplacer Apple Music,
• Google Maps pour remplacer Plans,
• Google Keep pour remplacer Notes,
• Google Fit pour remplacer Santé,
• La suite Google (Drive, Docs, Slides, Sheets) pour remplacer la suite bureautique Apple (iCloud Drive, Pages, Numbers et Keynote).

D’autres applications sont disponibles et peuvent remplacer celles qui sont installées de base sur l’iPhone.
Pour compléter votre iPhone, il y a des applications fournies par Google qui sont incontournables, comme Google Traduction et YouTube (à lire : Top convertisseur YouTube MP3 !).

Les installer, c’est une chose : mais comment les utiliser tout le temps ?

Le problème d’iOS, c’est qu’il est configuré, par défaut, avec les applications natives. Ainsi, vous installez Gmail, mais lorsque vous allez sur un site Internet, tapotez sur une adresse mail – à lire : créer un compte Gmail ! – il va vous ouvrir Apple Mail, car c’est l’application par défaut. Or vous souhaiteriez, certainement, que ce soit Gmail, n’est-ce pas ? On vous comprend ! Il en est de même pour Plans, pour Google Chrome, etc.
Pour ce faire, il faut aller dans l’application Gmail, cliquer sur le menu latéral et aller dans Paramètres. Par la suite, vous pourrez naviguer jusqu’à « Application par défaut ». Dans cette interface, vous pourrez choisir toutes les applications par défaut, comme le navigateur Internet, le GPS, etc.

Remplacer le clavier de base de l’iPhone par celui de Google

Pour aller encore plus loin, il est possible d’installer le clavier fourni par Google qui est Gboard. C’est une application à télécharger depuis l’App Store.
Une fois que c’est fait, rendez-vous dans « Paramètres », « Général », « Clavier » et choisissez le clavier que vous souhaitez utiliser par défaut. Il faudra peut-être ajouter le clavier si Gboard ne s’affiche pas.

Laissons le champ libre à Google Assistant !

Google Assistant est bien meilleur que Siri n’est-ce pas ? On vous comprend parfaitement ! C’est d’ailleurs pour cette raison qu’on vous recommande d’installer l’assistant vocal développé par Google.
Il faut télécharger l’application qui va bien. Ouvrez-là pour la première fois, et il vous sera demandé de mettre en place un raccourci pour utiliser Google Assistant très facilement.

Une fois que votre iPhone est googlisé, que faire des app’ d’Apple ?

Bah oui, le téléphone est parfaitement full Google, mais vous avez encore les applications d’Apple ? Heureusement, depuis 2/3 ans seulement, il est possible de les supprimer (en vérité, ça les masque plus qu’autre chose) de votre Dashboard. Pour ce faire, il suffit de faire un appui long sur une application (il ne faut pas trop appuyer sous peine d’activer le 3D Touch ou l’Haptic Touch). Vous allez avoir une croix dans un rond gris en haut à gauche de chaque application qui peut être supprimée. Et vous cliquez dessus !

Désormais, vous avez un bel iPhone tout beau, tout propre, avec tous les services de Google !

Ou comment récupérer les utilisateurs d’Instagram qui sont partis sur TikTok qui fait grand bruit depuis quelques temps. Le réseau social américain basé sur la photographie a décidé de répliquer en affichant les paroles de certaines chansons dans les stories d’Instagram.
La manipulation pour arriver à ce résultat est relativement simple.
Nous allons vous l’expliquer dans cet article.

Instagram, qu’est-ce que c’est ? Qu’est-ce qu’une story Instagram ?

Instagram est un réseau social où les utilisateurs vont partager des photos et des vidéos sur leur profil. Pour liker d’autres photos et échanger avec d’autres personnes, il faut connaître le nom d’utilisateur ou utiliser les hashtags. Il s’agit d’un mot précédé du dièse comme ceci #apple #android #oneplus5t #shotoniphone. Le principe est de réunir toutes les photos qui comportent ce hashtag et de favoriser les relations entre les personnes qui ont des centres d’intérêt en commun.
Sur Instagram, on peut publier de deux manières : soit une publication classique qui va être présente durant le temps que vous aurez décidé, soit dans une story dont la durée de validité est de 24h. Au terme des 24h, la publication sera automatiquement détruite. Les stories sont très appréciées, aussi bien par les entreprises et les marques que les particuliers. Cela permet de partager une humeur du moment, de communiquer ses envies avec d’autres personnes ou encore d’offrir des moments privilégiés avec sa communauté (les coulisses d’un tournage, les étapes de la fabrication d’un produit, l’envers d’un décor, etc.). C’est une zone très appréciée par les personnes qui veulent en savoir plus ou découvrir l’intimité des personnes.
Parmi les stories, il y a la possibilité d’ajouter des stickers plus ou moins variés. Dans ce cas, on va retrouver le sticker music, c’est celui-ci qui nous intéresse.

Comment insérer les paroles d’une chanson au coeur d’une story sur Instagram ?

C’est une option qui s’installe facilement et qui est disponible aussi bien sur Android que sur iOS. Tous les pays ne sont pas éligibles à ce sticker, notamment en raison des droits d’auteur. Dans notre cas, en France, nous y sommes éligibles.
Pour ce faire, voici la procédure à suivre :

• Allez créer une story pour votre compte Instagram (à lire : créer un compte Gmail !),
• Sur l’icône des tickets, tapoter dessus et trouver « Musique »,
• Il ne vous reste plus qu’à choisir la musique que vous désirez écouter.

Les paroles vont s’afficher automatiquement. Vous n’avez droit qu’à un passage de 15 secondes. Ainsi, vous pourrez sélectionner le passage qui vous plaît le plus avec les paroles et le faire afficher à votre guise.
Les paroles peuvent changer de couleurs, de police, de format… Pour ce faire, il suffit de cliquer sur les paroles et ça changera automatiquement.
Enfin, pour ne pas gâcher votre image, les paroles peuvent être déplacées. Il suffit de rester appuyé dessus et de déplacer les mots là où vous le désirez (à lire : top des sites de compteur de mots !). Vous allez voir, c’est une facilité déconcertante pour ajouter des paroles (et de la musique) dans votre super story Instagram (à lire : comment supprimer Instagram !). Votre communauté adorera !

Les utilisateurs et possesseurs de smartphone sont de plus en plus nombreux. Ils veulent accéder à l’information le plus rapidement possible. Seulement, une contrainte peut s’offrir à eux : le manque de data.
Pour y remédier, il existe plusieurs astuces qui fonctionnent parfaitement sur un smartphone Android. Nous allons vous les communiquer au sein de cet article.

La data : le point noir des mobinautes

Les opérateurs téléphoniques mettent en avant plusieurs arguments marketing comme le forfait « illimité » avec 50Go de données inclut. Dans ce cas, est-ce que le forfait est vraiment « illimité » comme ils le disent ? Non, il y a bien une limite dans la consommation de données pour aller sur Internet.
Aujourd’hui, les réseaux 3G et 4G sont utilisés quasiment par tout le monde. Il en sera de même pour la 5G qui arrivera dans les prochaines années. Ce sont des éléments utilisés par tout le monde, aussi bien des particuliers que des professionnels. Avoir un accès constant à Internet est même devenu vital et essentiel pour plusieurs profils d’individus (on exclut les jeunes qui ont une utilisation addictive de leur téléphone (et non productive) au quotidien).
Pour cela, les forfaits sont idéaux. Seulement, ils sont limités comme on l’a vu plus haut. Comment passer cette limite ? Comment bénéficier d’Internet quand la limite a été atteinte ? C’est ce que nous allons voir dès maintenant.

Le réseau social des réseaux Wi-Fi : voici Instabridge !

La première application dont nous allons parler dans cette liste est Instabridge. C’est le type d’application qui peut en sauver plus d’un, bien que ce soit assez aléatoire.
Il s’agit d’un réseau social où vous allez pouvoir découvrir tous les réseaux Wi-Fi qui se situent à proximité. Les propriétaires de ces réseaux vont autoriser le partage (ou non) des mots de passe pour se connecter au Wi-Fi à proximité.
Cette application est souvent pratique pour les personnes qui sont à la recherche d’un réseau quand il y a des bars ou des commerces à proximité. Ce n’est pas le cas si vous roulez en même temps. Il faut bien faire la distinction entre les deux.
En d’autres termes, Instabridge est une sorte de réseau 4G pour les personnes qui n’ont plus de data dans leur forfait. On aime beaucoup cette app’ à la rédaction et on l’utilise plus souvent qu’on ne l’aurait pensé.
On précisera tout de même, si vous désirez partager votre connexion Wi-Fi, qu’il s’agit d’une action à vos risques et périls. En effet, une personne peut télécharger illégalement, avec votre réseau Wi-Fi et Hadopi viendra chez vous pour vous accuser de ce téléchargement illégal. Il faut donc être méfiant et prudent, surtout en plein centre-ville.

Améliorer le confort et l’utilisation de son smartphone en limitant la consommation de données

Nous allons parler d’une application qui est là pour votre bien : elle s’appelle Pocket. Il ne s’agit pas d’un logiciel vous permettant de pirater un réseau Wi-Fi depuis votre poche, loin de là, il s’agit d’un outil de productivité utilisé par beaucoup de personnes (à lire : pirater un compte Snap,  comment réagir ?).
Les chefs d’entreprise et les salariés n’ont pas le temps de lire un article, qui pourtant, les intéresse très fortement. Plutôt que d’interrompre la tâche dans laquelle ils sont, ils vont aller le stocker directement dans Pocket. Cela permet de centraliser tous les articles que vous souhaitez lire plus tard.
Pourquoi cette application est-elle pratique pour votre smartphone Android ? Parce qu’elle va vous économiser un temps de chargement, une consommation de données et vous offrir un moment, tous les jours, où vous allez vous consacrer uniquement à ces articles de veille.
Le principe est le même que la Liste de lecture sur l’écosystème Apple (iPad, iPhone et Mac). Vous pourrez « mettre de côté » un article pour le lire plus tard.
Dans ce cadre précis, Pocket permet de faire des économies de chargement de pages. Une fois que vous serez rentrés à la maison, vous pourrez utiliser le réseau Wi-Fi pour consulter tous les articles à lire que vous avez mis sur Pocket.

D’autres astuces pour économiser de la data sur votre forfait

Les GPS sont très utilisés aujourd’hui, avec des performances toujours plus justes et adaptées à vos besoins. Ainsi, ils sont capables de savoir quand vous devez partir pour arriver à l’heure, la durée d’un trajet, le trafic en temps réel, etc.
Pour éviter de perdre de la data dans ces situations-là, pourquoi ne pas brider le GPS en utilisant une version hors-ligne ? Il va vous économiser beaucoup de données, et certainement bien plus que vous ne le pensez !
Les personnes qui voyagent souvent à l’étranger et ont des problèmes de communication vont avoir le réflexe « Google traduction ». Seulement, à l’étranger, le téléchargement de données est très cher. Pour éviter de dépenser de la donnée, pourquoi ne pas télécharger, en amont, sur votre téléphone, tous les packs de langue de Google Traduction ? Vous serez bien plus tranquilles ! Google traduction s’utilise parfaitement en mode « hors connexion », n’ayez pas de crainte !

Connaître son utilisation

Certaines personnes aiment bien savoir ce qui mange le plus dans leur données. Avec une application mobile comme Network Monitor Mini, vous pourrez connaître précisément tout ce qui brûle dans votre forfait. C’est une solution bien pratique et performante. Vous saurez très rapidement quelles sont les applications qui consomment de la donnée, même en arrière-plan de celles qui n’en consomment pas. Il est aussi possible d’observer le mouvement des données sur son smartphone Android, en fonction de la surcouche mise en place par votre constructeur.

Les années se défilent et Android ne cesse de s’améliorer. C’est une excellente nouvelle pour nous, utilisateurs avérés d’Android. On ne demande que ça : avoir des fonctions utiles et pratiques pour améliorer notre quotidien.
Parmi ces fonctions, il y a les Quick Settings qui étaient particulièrement bien demandées. Qu’est-ce que c’est ? Il s’agit de « raccourcis » pour accéder facilement aux paramètres et à certains paramètres spécifiques. C’est une fonction très demandée, car elle permet un gain de temps considérable au quotidien. Seulement, comment faire pour ajouter un nouveau raccourci dans son téléphone ? Il est vrai que la manipulation n’est pas des plus instinctives et faciles à mettre en oeuvre.
Découvrez le processus à suivre dans cet article et nous vous expliquerons comment il faut s’y prendre !

La mise en place de raccourcis sur Android n’est pas instinctive, mais demeure facile !

Contrairement à iOS d’Apple, où tout est pensé pour l’utilisateur et qu’il est simple de l’utiliser, c’est instinctif et fluide, sur Android, certaines manipulations ne sont pas aussi instinctives qu’on le voudrait. C’est un vrai problème. Pour les personnes qui ne sont pas technophiles et qui ont des difficultés à approcher l’univers Android, c’est bien dommage.
Pour installer des raccourcis sur Android, il suffit d’appuyer longuement dans le vide sur l’écran d’accueil. Vous allez avoir un menu qui va faire son apparition. C’est le menu Widget.
En fonction du constructeur de votre smartphone, vous allez avoir différentes interfaces d’un smartphone Android à un autre. Toutefois, le fond de la manipulation est le même.
Les raccourcis et les widgets sont souvent mélangés, mais ils peuvent être séparés, notamment en deux groupes.
Après avoir effectué l’appui long, vous allez avoir le menu avec Fonds d’écran, Widgets et Paramètres. Cliquez dessus (Widgets) et sélectionnez le widget que vous désirez faire apparaître dans votre écran d’accueil de smartphone. Pour le faire apparaître, il faudra cliquer longuement sur le widget en question et le positionner là où vous le désirez.
Dans certains cas, comme avec des applications très connues comme Facebook, Skype ou Google Docs, avoir ces raccourcis à portée de mains est un véritable plus !
Ces raccourcis ne concernent uniquement que les applications que vous désirez avoir.
Désormais, nous allons vous parler des paramètres.

Créer un raccourci avec les paramètres

On retourne sur l’écran d’accueil et on appuie dans le vide. Vous allez avoir le même menu widget qui s’affiche. Cliquez dessus et trouvez « Paramètres ». En appuyant dessus, vous allez pouvoir le positionner sur votre écran d’accueil, là où vous le désirez.
C’est à ce moment-là qu’il vous sera demandé le type de raccourci que vous désirez avoir. Est-ce un raccourci vers les paramètres d’accessibilité ? Est-ce un raccourci vers les paramètres d’affichage ? Est-ce un raccourci vers les paramètres Bluetooth ? Libre à vous de choisir le paramètre que vous utilisez fréquemment.
L’intérêt de ces raccourcis est d’avoir un accès rapide à des fonctions que vous utilisez souvent.

La gestion des paramètres dans le tiroir de contrôle (centre de contrôle)

Outre le raccourci comme on l’a vu plus haut, il est possible d’avoir un centre de contrôle qui se fait du haut vers le bas principalement (le sens peut changer d’un smartphone Android à un autre smartphone Android). À l’intérieur de cette zone, vous allez retrouver des icônes qui peuvent se contrôler très facilement, comme le Bluetooth, la Wi-Fi, la double-SIM, etc. Ce sont des paramètres faciles d’accès. On aime beaucoup les utiliser au quotidien parce qu’ils le facilitent.
Néanmoins, les constructeurs font en sorte d’imprimer leur patte et leur empreinte dessus. Ils installent, au-dessus de la version Android de base, une surcouche. C’est l’ajout de plusieurs fonctions complémentaires qui sont là pour enrichir le téléphone (ou l’épurer).
C’est ce qui rend complexe la création de raccourcis alors qu’avec une version Android classique, sans surcouche, comme on peut le voir sur les Google Pixel (voire les OnePlus tellement la surcouche OxygenOS est légère), les instructions que l’on vous a partagées sont bien vérifiées. Heureusement, Google cherche à unifier tout ce beau monde pour que tous les utilisateurs d’Android ne soient pas pénalisés, d’une manière ou d’une autre.

La réception d’un smartphone est toujours un moment spécial, aussi bien pour l’utilisateur lambda que pour le passionné de technologies. Seulement, il arrive que dans la précipitation on ne prenne pas le temps nécessaire pour se renseigner précisément sur ce qu’il faut comme carte SIM pour son nouveau joujou.
En 2019, plusieurs formats de cartes SIM existent depuis quelques années. On va retrouver la carte SIM classique, la micro SIM et la nano SIM. Ce sont trois formats différents. Ils ne peuvent pas être utilisés les uns sur les autres.
Heureusement, il existe une technique pour choisir la bonne carte SIM et qu’elle soit parfaitement fonctionnelle. Il faut procéder à la découpe de celle-ci. Voyons voir ensemble, comment il faut s’y prendre.

Les différents formats de la carte SIM existants

Aujourd’hui, quatre formats sont disponibles :

• Carte SIM,
• Mini-SIM
• Micro SIM,
• Nano SIM.

La carte SIM est une petite puce délivrée par l’opérateur. Elle n’est active que si vous versez un abonnement mensuel (d’une manière ou d’une autre) à l’opérateur. Les sociétés principales sont Bouygues Telecom, Orange, Free et SFR (tout savoir sur SFR Mail !). D’autres opérateurs existent sur le marché, ce ne sont pas les seuls. Cependant, ce sont les plus communs et ceux qui ont le plus de clients à l’heure actuelle.
La carte SIM est cette puce qui permet à un téléphone de communiquer avec le monde extérieur, à travers le numéro de téléphone. Sans carte SIM, l’utilisateur va pouvoir communiquer avec d’autres personnes, grâce au Wi-Fi et à des services comme Messenger où seul un compte sur Facebook est demandé. Seulement, au milieu d’une ville, sans connexion à une box Internet, il ne pourra pas se servir de son téléphone pour appeler et échanger avec d’autres individus (à lire : enregistrer conversation téléphonique !).
Avec la carte SIM, un numéro de téléphone personnel vous sera délivré. C’est celui-ci qui vous permettra de recevoir des appels vocaux ainsi que des messages écrits comme les SMS et les MMS.
La taille standard d’une carte SIM est celle que tout le monde, ou presque, a connue. C’est une « grosse » carte composée d’une puce. Puis Apple, la société américaine qui commercialise des iPhone, est passée par là. Elle a décidé, lors de la présentation d’un nouvel iPhone (toujours plus révolutionnaire au passage), de changer le standard de la carte SIM en la réduisant. Est arrivée la micro SIM. C’est une révolution dans le monde de la carte SIM. Elle est plus petite et possède une capacité de stockage bien plus importante. Quelques années plus tard, on a vu l’émergence de la nano SIM, une carte toujours plus petite. Cette dernière est prévue pour répondre aux dernières exigences technologiques actuellement en vigueur.

Les différences entre les trois cartes SIM principales

La carte SIM possède ces dimensions : 85,60 x 53,98mm. La capacité de stockage est de 0,2 à 2 KB. Son format est présent sous la forme 1FF.
Le second format, très peu utilisé à l’heure actuelle, est la mini SIM avec 15 x 25 mm en dimensions. Sa capacité de stockage est plus importante et peut aller de 2 KB à 16 KB. Son format est 2FF.
Le troisième format, la micro SIM, toujours plus petite avec 15 x 12mm et intitulé 3FF, possède une capacité de stockage de 32 KB et peut aller jusqu’à 128 KB.
Enfin, le dernier format, la nano SIM, est le plus petit avec 12,3 x 8,8mm. Sa capacité de stockage est de 128 KB et son format est 4FF.

Comment découper la carte SIM sans l’endommager ?

Pour découper la carte SIM correctement, vous avez trois solutions :

• Commander une nouvelle carte chez votre opérateur (mais opération payante),
• Découper manuellement la carte, mais à vos risques et périls,
• Utiliser un adaptateur prévu à cet effet.

Que ce soit dans la grande distribution ou dans les magasins électroniques et informatiques, vous aurez la possibilité de trouver des adaptateurs pour découper la Carte SIM correctement. Le coût de ces produits n’est pas élevé et peut rarement dépasser les 8 euros. La moyenne se situe autour de 5€.
Si vous n’avez pas confiance en vos mains, il ne faut pas hésiter à se rendre dans un centre agréé, notamment pour les magasins d’informatique. Ils ont l’habitude et ils pourront vous accompagner dans votre démarche.
La découpe de la carte SIM par ses propres moyens est possible. Pour ce faire, il faut être précis et garder à l’esprit que la partie dorée est essentielle. Il ne faut pas la couper.
Vous trouverez plusieurs fichiers et documents sur Internet pour découvrir le schéma de la découpe. C’est très facile à faire et nous suivons ces étapes à chaque fois que c’est nécessaire.
En revanche, il n’est pas possible de passer d’une nano SIM à une carte SIM. On peut réduire la taille de la carte SIM, mais on ne peut pas l’augmenter. Il ne faut pas le négliger !

Désormais, vous avez tous les éléments nécessaires pour couper votre carte SIM tranquillement pour l’insérer dans votre nouveau téléphone ! Bonne chance !

Le mode Picture-in-Picture a fait son apparition sur les appareils mobiles depuis quelque temps déjà. Il s’agit d’un mode très intéressant et qui offre une expérience d’utilisation très agréable.
On peut l’utiliser sur un smartphone, une tablette ou encore sur un ordinateur. Dans cet article, nous allons lister les différentes manières de l’utiliser et de l’activer sur tous les différents supports que nous avons listés. Vous allez voir, c’est très simple !

Pourquoi utiliser le mode Picture-in-Picture ?

C’est un mode de consommation qui est venu de la télévision. Il s’agit d’un mode d’affichage différent de ce que l’on peut avoir au quotidien. À l’origine, le but sur la télévision était de pouvoir afficher deux sources vidéo en simultané. Ainsi, il était possible de consulter un programme sur une sortie HDMI et un autre programme sur une sortie Antenne TV classique.
Le PiP affichait la seconde source dans une petite fenêtre qui se superposait à l’écran principal. L’utilisateur peut jouer sur sa console et regarder un programme vidéo à la TV, en même temps. C’est une fonction très appréciée !
Pour un confort encore plus important, il est possible de placer la petite fenêtre un peu partout et vous pourrez la redimensionner comme vous le souhaitez.
Une fois que le PiP décolle de la TV, imaginez l’utiliser sur une tablette ou un ordinateur. Les possibilités de productivité ne seraient-elles pas décuplées ? C’est la question que nous allons voir dès maintenant !

Le mode PiP sur tablette, smartphone et ordinateur

L’utilisation du PiP sur ces supports est légèrement différente de ce qu’il peut y avoir à la TV (exceptées les SmartTV). Le Picture-in-Picture va se réaliser de la manière suivante :

• Vous serez sur une application ou un site Internet,
• Une vidéo se lance,
• Pour utiliser le reste de l’application ou du site Internet, tout en conservant un oeil sur la vidéo, celle-ci va se positionner dans un coin de l’écran, grâce au PiP.

Dans des univers professionnels, ce type de mode est particulièrement apprécié. Il permet de gagner du temps et de la productivité, notamment dans les métiers du web.
Bien évidemment, on peut détourner cette utilisation différemment, en l’utilisant pour consulter des séries pendant des heures tout en jouant à Farming Simulator ou un autre jeu.

Comment utiliser le mode PiP sur un smartphone et une tablette ?

Sur les smartphones Apple dotés du système d’exploitation iOS, il suffit de consulter la vidéo. Dans le lecteur vidéo, vous y trouverez une icône avec deux rectangles, dont l’un qui est entièrement noir. Une sorte de flèche est aussi présente. Cliquez sur cette icône et vous pourrez utiliser votre jeu ou application professionnelle en seconde application.
Sur les smartphones Android, la manipulation est différente. Il faut se rendre dans les « Paramètres « du téléphone, choisir « Applications et notifications », tapotez sur « Accès spécial » (ou « Accès spécifique des applications ») puis vous choisirez le mode « Picture-in-Picture ». Par la suite, c’est à vous de choisir les applications qui sont autorisées (ou non) à utiliser ce mode.
Une fois que la fonction est activée, libre à vous de l’utiliser comme bon vous semble !

Comment utiliser le mode PiP sur un ordinateur ?

Les deux méthodes dont on va parler peuvent fonctionner sous tous les OS disponibles comme Windows, macOS, Linux et Chrome OS.
Ce mode est aussi bien compatible pour les ordinateurs fixes que les ordinateurs de bureaux. Pour les personnes habituées à utiliser un second écran, c’est bien évidemment possible.

La première méthode pour activer le mode PiP

Elle est relativement simple et redoutablement efficace. Mais elle peut ne pas fonctionner sur tous les ordinateurs.
Il s’agit de faire un clic droit sur la vidéo pour avoir l’option permettant d’activer le PiP. Pour les personnes qui vont sur YouTube – à lire : créer une chaine YouTube ! – il faudra cliquer à deux reprises sur le clic droit. En effet, le premier clic droit offre des fonctions propres à la vidéo YouTube (à lire : Top convertisseur YouTube MP3 !). Puis, vous n’aurez plus qu’à choisir la fonction « Picture-in-Picture » associée.

La deuxième méthode pour activer le mode PiP

Elle n’est valable que sur Google Chrome. Il s’agit de télécharger une extension légale sur le Chrome Web Store. L’extension s’appelle « Picture-in-Picture Extension (by Google) ». Procédez à son téléchargement puis à l’installation. Désormais, à droite de la barre d’adresse, une nouvelle icône a fait son apparition. Vous pourrez utiliser le PiP en toute liberté !

Les solutions pour utiliser le PiP sur ordinateur et sur smartphones (et tablettes) sont simples et faciles à mettre en oeuvre. N’hésitez pas et profitez-en !

L’application Google Maps est fantastique. Elle est performante, complète et offre des solutions intéressantes pour l’utilisateur. Outre servir de GPS comme la grande majorité des utilisateurs le font, Google Maps est une application permettant de découvrir de nouveaux commerces et restaurants qui se situent autour de nous.
Malheureusement, ce petit logiciel mobile est (très) gourmand. Il ne lésine pas sur la batterie, ce qui peut causer des problèmes plus ou moins importants. Ne vous êtes-vous pas déjà confronté au fameux problème du « il ne me reste que 20% de batterie, est-ce que j’utilise Google Maps pour rentrer à la maison ? » ? C’est un cas relativement fréquent.
Dans cet article, nous allons vous proposer plusieurs solutions diverses et variées pour protéger votre téléphone et lui offrir une durée de vie plus longue.

Des astuces pour économiser de la batterie

Ce billet va comporter plusieurs astuces. Selon le moment où vous le lirez, il est possible que certaines astuces ne soient plus utiles. En effet, Google est un acteur très dynamique qui n’hésite pas à mettre à jour son application régulièrement pour répondre à ses besoins et à ceux des utilisateurs.
Toutes ces astuces peuvent différencier en fonction du smartphone que vous utilisez. Un smartphone iOS n’est pas conçu de la même manière qu’un téléphone qui a Android comme système d’exploitation. Nous ne concentrerons uniquement que sur les smartphones Android.

Google Maps aime connaître votre intimité

Il faut savoir que Google est un éditeur qui aime connaître tous les moindres faits et gestes de ses utilisateurs. C’est pour cette raison qu’il faut contrôler la gestion de la localisation. Appréciez-vous que Google Maps interroge régulièrement votre téléphone, à votre insu, pour savoir où vous vous situez ? C’est grâce à ces données qu’il est capable de vous fournir des prestations de qualité. Il le fait plusieurs fois par jour.
Pour remédier à ce problème, on va vous partager la démarche à suivre :

• Allez dans les paramètres de votre téléphone,
• Appuyez sur « Localisation »,
• Désactivez « Accès aux informations de localisation ».

Au même endroit, vous découvrirez l’ensemble des applications qui ont interrogé votre téléphone pour connaître précisément votre localisation.

« Économie d’énergie » : un mode sous-exploité

Les téléphones vont mettre toutes les chances de leur côté pour vous localiser le mieux possible et vous fournir des services qui répondront à vos attentes. Pour cela, les différents réseaux Wi-Fi, 3G/4G et GPS sont utilisés, constamment. L’objectif est de vous apporter une précision optimale.
Vous comprendrez qu’utiliser toutes ces fonctions va avoir un impact sur la vie de votre batterie. Pour limiter au mieux votre batterie (et la préserver surtout !), il est préférable d’activer le mode « Économie d’énergie ». C’est un mode qui s’active automatiquement, sur certains téléphones Android, dès que le niveau de la batterie s’y prête (15% chez OnePlus par exemple).
C’est une fonction qui peut s’activer au bout de 30% ou même 50%. On recommande de bien l’utiliser, car c’est un mode très intéressant et qui va soulager votre batterie.

Utiliser le GPS à sa pleine puissance

Comme nous l’avons indiqué plus haut, Google Maps va utiliser différents réseaux pour vous géolocaliser. Pourquoi ne pas la contraindre à utiliser, seulement, le GPS plutôt que la 3G/4G et le Wi-Fi ? Cela vous économiserait un certain nombre de requêtes internes et votre batterie s’en portera bien mieux.
Toutefois, il faut dire que c’est une fonction qui peut avoir une conséquence plus ou moins importante. La précision de votre GPS dans certains lieux géographiques peut être moins bonne. C’est aussi une fonction à ne pas utiliser si votre téléphone possède des problèmes de localisation. La puce GPS peut être défaillante…

Votre téléphone peut faire des recherches automatiques

Quand vous vous déplacez, le téléphone peut être constamment à la recherche d’un réseau. C’est de l’énergie gaspillée par le téléphone et Google Maps. Cette dernière fonctionne beaucoup en arrière-plan comme on l’a vu.
Dans ce cas, il faut limiter ces actions pour vous permettre de profiter au mieux de votre téléphone. Pour ce faire, il faut aller dans les « Paramètres », trouver « Localisation » et appuyer sur « Recherche ».
Deux choix s’offrent à vous : la recherche Wi-Fi et la recherche Bluetooth. Il faut désactiver les deux.

L’avant-dernière solution : le cache

Pour avoir toutes les chances de diminuer l’impact de Google Maps sur votre batterie, il peut être intéressant de regarder le cache et l’ensemble des données qu’a collectée l’application mobile. Parfois, un trop-plein de stock dans le cache peut ralentir l’application et avoir une conséquence sur l’autonomie du téléphone. Dans ce cas, il faut faire un nettoyage.
Pour s’y prendre facilement, il faut aller dans « Paramètres », « Applications » et « Google Maps ».
Deux boutons sont disponibles : effacer les données et vider le cache. Tapotez sur les deux !
Il faut garder à l’esprit que cette manipulation va supprimer toutes les données enregistrées dans Maps, y compris le téléchargement des cartes hors-ligne, etc.

Le recours ultime : la désinstallation et la réinstallation de Google Maps

Dans ce cas, il faut aller dans le Google Play Store, supprimer Google Maps et la réinstaller. C’est une manipulation à ne faire que si les actions citées plus haut n’ont pas fonctionné.

Désormais, vous avez toutes les solutions pour préserver au mieux votre batterie et limiter l’impact de Google Maps sur l’autonomie de votre smartphone Android. Et c’est le plus important.

Si vous souhaitez aller en voyage dans certains pays, en particulier en Chine, vous devez savoir que la chine est le 4e pays le plus censuré au monde. En Chine, les réseaux occidentaux comme YouTube, Netflix, Instagram, Google, Facebook et plein d’autres sont censurés. (suite…)

Instagram est un réseau social qui est présent uniquement sur smartphone, Android et iOS. C’est une application qui permet de partager des photos facilement et librement. Ce n’est pas l’application la plus complexe à manipuler, loin de là. C’est intuitif.
Les utilisateurs sont des particuliers, mais aussi des professionnels. Certaines personnes utilisent Instagram pour gagner de l’argent. Souvent ces personnes ont besoin de poster un post depuis un ordinateur (postez et rirez sur 9GAG !). Plusieurs solutions existent pour pallier au manque de cette fonction sur la version ordinateur.

Publier une photo sur Instagram à partir d’un PC ou d’un Mac

Que vous soyez un professionnel ou un particulier, il est évident que la publication d’une photo depuis un ordinateur est un vrai luxe qui ne doit pas être négligé, bien au contraire.
La première méthode que l’on va vous partager est gratuite. Bien que ce ne soit pas une action facile et qui peut faire gagner du temps au quotidien, elle a le mérite d’exister et peut dépanner de temps en temps.
La méthode que l’on va vous partager n’est disponible uniquement que pour les personnes qui posteront des photos. À l’heure actuelle, les carrousels et les vidéos ne sont pas pris en charge. Il en est de même pour les stories, qui sont un cas à part. L’autre bémol de cette méthode est l’impossibilité de pouvoir programmer la publication dans le temps. Cette fonction est très recherchée chez les professionnels qui veulent mettre en place des stratégies marketing poussées sur Instagram.

La publication avec Google Chrome

En utilisant ce navigateur Internet, nous allons vous suggérer de vous connecter à votre compte Instagram et de sélectionner les Options pour développeurs qui se trouvent dans l’onglet « Afficher » sur Mac. Puis, il faut atteindre le menu « Outils de développement ».
Un second volet va s’ouvrir sur votre page Google Chrome (généralement en bas). Vous allez avoir une icône avec un carré et une flèche, et à sa droite, une icône représentant deux smartphones. Il faut cliquer sur cette dernière.
Le résultat de cette action va être d’offrir l’apparence d’un site pour mobile pour retrouver toutes les fonctions qui ne sont disponibles que sur smartphone, dont l’action de publier. Par la suite, c’est à vous de choisir le smartphone, dans le menu dédié, que vous souhaitez faire apparaître. En choisissant un iPhone ou un Samsung, vous aurez cette fonctionnalité.
Petite précision : seules les images en .jpg seront disponibles. Il n’est pas possible de poster des images en .png avec cette méthode.
Une fois que l’image est téléchargée pour la publication, vous pourrez y ajouter un filtre, la pivoter, insérer une légende, y mettre des hashtags, etc. Presque toutes les fonctionnalités sont disponibles.

La publication avec Safari

Pour les utilisateurs de Mac, il est aussi possible de réaliser cette action avec Safari. Dans l’onglet « Développement », choisissez le menu « Agent d’utilisateur » puis « iPhone ». Il ne vous restera plus qu’à suivre les étapes de publication dont on a parlé plus haut.

La publication d’une image à travers ces méthodes est bien. Seulement, pour publier des photos régulièrement, cela peut devenir fastidieux.

Utiliser une application adaptée

Plusieurs applications disponibles sur le web sont performantes, aussi bien pour publier que pour gérer les commentaires, publier des stories, insérer des liens, des effets, programmer la date de publication, etc.
Parmi les logiciels dont on va vous parler, certains sont gratuits, d’autres sont payants. Les versions gratuites n’offrent que très peu de solutions et ne sont pas celles que nous recommanderons en priorité.
Les applications (disponibles sur Mac et PC, il suffit simplement d’un navigateur Internet) sont les suivantes :

• Agorapulse,
• Later,
• Buffer,
• Iconosquare,
• …

Ce sont des gestionnaires de réseaux sociaux. Ils ne s’appliquent pas qu’à Instagram. D’autres réseaux sociaux comme Facebook et Twitter sont généralement supportés.
De notre retour d’expérience, nous avons utilisé Iconosquare qui est une application remarquable. Elle a été fondée à Limoges, en France.
Elle permet des solutions pour obtenir des statistiques poussées et intéressantes pour comprendre l’évolution du compte Instagram (à lire : comment supprimer Instagram !). Il est possible de programmer des publications, pour un mois, une semaine, le temps d’un évènement… Le tout simplement et facilement (sans avoir à repasser sur l’application mobile pour valider la programmation). Enfin, vous pourrez observer tout un marché, analyser la concurrence, regarder ce qu’ils font de bien ou non, et de conserver un coup d’avance sur eux.
Cette application est payante et peut s’adresser aux petites entreprises, aux entreprises de taille classique et aux agences marketing qui gèrent des comptes pour leurs clients.
Nous la recommandons pour tous les utilisateurs qui veulent un outil pour publier et gérer facilement leur compte Instagram, depuis un ordinateur.

Depuis quelques semaines déjà, on entend parler que de cette application mobile : FaceApp. C’est une redoutable application qui offre des solutions performantes pour déformer le visage d’une personne, la vieillir ou la rajeunir, et d’autres fonctionnalités.
Le problème est lorsqu’une personne de nationalité américaine a commencé à regarder de plus près les conditions générales d’utilisation (ce que personne ne lit, n’est-ce pas ?). Il est indiqué à l’intérieur que toutes les images sont stockées sur les serveurs de FaceApp (comme la majorité des applications me direz-vous), mais cela ne s’arrête pas là. FaceApp se réserve le droit d’utiliser votre image (à votre insu en quelque sorte) pour les partager avec des tiers, à des fins commerciales. Et tout de suite, cela prend une autre dimension.
Pour se protéger, il est possible de supprimer toutes les données qui vous appartiennent des serveurs de FaceApp.

La parole du fondateur de l’application doit-elle être prise au sérieux ?

Suite à ce scandale qui touche le monde entier, le fondateur de l’application, Monsieur Yaroslav Goncharov, a admis que sa société ne partagerait aucune donnée des utilisateurs de FaceApp. Il précise, dans le même communiqué que les internautes ayant utilisé et téléchargé cette application, peuvent faire une requête au support pour supprimer leurs données des serveurs russes.
Deux interprétations sont possibles : il a parlé pour apaiser la crainte des utilisateurs et les images ne sont vraiment pas utilisées (mais dans ce cas, pourquoi les indiquer ouvertement dans les CGU ?). L’autre situation est dont il a parlé pour réagir au buzz, et rassurer les utilisateurs… Une action de communication et derrière la société continue d’enregistrer les données. Au fond, on ne saura jamais.

La démarche à suivre pour supprimer les données présentes sur leurs serveurs

On apprécie que le processus mis en place par l’application soit très simple et facile d’accès. Les étapes à suivre sont celles-ci :

• Il faut se rendre dans l’application (le processus est sensiblement le même pour iOS et Android),
• Aller dans « Paramètres », trouver l’onglet « Support » et choisir « Signaler un bug ».
• Enfin, choisissez « Confidentialité » dans le titre du sujet, puis faire une demande explicite, avec effet immédiat, de la suppression des données que vous avez transmises sur leurs serveurs.

On regrette amèrement le temps d’exécution. La suppression ne se fait pas du jour au lendemain. Suite à ce scandale, c’est un processus qui peut prendre du temps et plusieurs semaines.
On précisera qu’il faut être très vigilant sur Android, car de nombreuses applications sont disponibles sur le Play Store, mais elles ne sont pas forcément toutes qualitatives et performantes. Beaucoup de développeurs utilisent des stratagèmes plus ou moins légaux et douteux pour récupérer des données et les revendre à des tiers. C’est un cas très fréquent et classique. Il faut être prudent…
Pour vous assurer d’une bonne ou mauvaise application, vous pourrez consulter les avis des utilisateurs sur le Google Play Store et faire une recherche avec le nom de l’application sur Google.
Pour les utilisateurs d’iOS, le processus pour mettre une application sur le marché est devenu plus complexe. Les risques de se retrouver face à une mauvaise application sont plus faibles… mais ils existent toujours autant.

L’application de messagerie WhatsApp est l’une des plus utilisées à l’heure actuelle sur la planète. Elle présente de nombreux avantages comme la possibilité de discuter avec des personnes qui sont situées un peu partout dans le monde. Il n’y a pas de frais d’envoi ni de réception, pour échanger avec des personnes situées aux États-Unis, en Chine ou en Nouvelle-Zélande.
WhatsApp est une application détenue par Facebook, le réseau social que des millions d’utilisateurs utilisent au quotidien.
L’inconvénient de cette application est qu’elle met en place une sorte de compression, plus ou moins importante, lors de l’envoi des photos. C’est dommage, car c’est un canal très utilisé, notamment dans les conversations de groupes, pour échanger avec d’autres personnes.
Dans cet article, nous allons vous partager plusieurs astuces pour éviter cette compression – à lire : les astuces Pokemon epoe ! – et vous permettre d’envoyer des clichés de bonne qualité à vos amis et à vos proches.

Comment envoyer une photo en qualité originale sur un smartphone Android ?

Tout d’abord, il faut savoir que WhatsApp permet d’envoyer différents types de fichiers à ses contacts. Aussi bien des images, que des vidéos ou des documents classiques (en .pdf, en .doc, etc).
Les méthodes pour « tromper » WhatsApp sont nombreuses. Seulement, laquelle est la plus intéressante ? C’est ce que nous allons vous exposer dès maintenant !
Lorsque vous désirez envoyer une photo avec votre smartphone Android, vous allez cliquer sur le trombone, qui est le symbole et l’icône permettant d’indiquer qu’il est possible d’envoyer des documents et des fichiers.
Seulement, vous aller envoyer votre image à partir de ce moyen. Ainsi, il n’y a pas de compression qui sera appliquée sur l’image. Si vous décidez d’envoyer une image par l’icône prévue à cet effet (un carré avec un rond à l’intérieur, symbolisant l’appareil photo), il y aura la compression qui se met en place.
On vous prévient : pour certaines images, la compression ne se voit pas à l’oeil, la « faute » à la qualité des écrans qui change très facilement. En effet, on peut avoir des écrans LCD et des écrans OLED avec une technologie plus récente. La qualité des noirs profonds ne sera pas du tout la même et cela peut changer toute la perception des images.

Une autre alternative existe, mais elle est plus contraignante

Les utilisateurs d’Android ont trouvé une autre solution, qui selon nous, est bien plus contraignante que celles qu’on vous a présentées jusqu’à présent. Il s’agit tout simplement de renommer le fichier de l’image en .doc durant le transfert. Seulement, plusieurs contraintes sont présentes. Voyons ensemble l’intégralité du procédé :

• Vous souhaitez envoyer une photo. Vous allez dans le gestionnaire de fichiers de votre appareil, vous changez son extension, le fameux « .jpg » qui se trouve à la fin du nom du fichier. Vous remplacez le « .jpg » par « .doc ».
• Vous allez sur WhatsApp et vous cliquez sur le trombone pour envoyer un document (utilisez WhatsApp web sur votre ordinateur). Vous retrouvez votre fichier « transformé » et vous l’envoyez à votre contact.
• Celui-ci va la recevoir. Il va devoir, lui aussi, changer l’extension du fichier de « .doc » en « .jpg » pour retrouver son format original.
• Il pourra visionner la photo, dans son format original, sans perte de compression.

Ce n’est pas une méthode qu’on apprécie tout particulièrement parce qu’elle contraint le destinataire à une manipulation supplémentaire. Or quand on veut aller au plus simple, on « n’impose » pas une telle action, même si c’est pour regarder une belle photo.

Comment faire sur iOS ?

Ce n’est pas compliqué ! Il suffit de faire pareil et d’envoyer une image par le biais du trombone. Le destinataire, qu’il soit sur iOS ou Android, recevra l’image en qualité originale, sans aucun doute. Il ne faut pas s’en inquiéter outre mesure.

Quelles sont les alternatives ?

Bien évidemment, il existe des applications disponibles sur le Google Play Store pour envoyer des images sans compression à son destinataire. Ce n’est pas ce que l’on recommande, car certaines sont douteuses et en profitent pour récupérer des données sur votre vie privée. Il faut donc être prudent.
Néanmoins, une alternative qu’on peut vous recommander est d’avoir un album sur Google Photo et de l’envoyer, soit par mail, soit par message WhatsApp pour inviter d’autres personnes à consulter les photos que vous avez placées dans l’album.
Si vous n’êtes pas pour communiquer toutes vos données à Google, il est possible de se faire son propre NAS et de mettre en place un serveur adéquat qui offrira des garanties similaires pour les partager à vos proches. Cela possède un coût. Mais est-ce que la vie privée possède vraiment un coût et une valeur ?

Plusieurs raisons existent pour justifier les longs temps de chargement d’une page d’un site Internet, aussi bien sur ordinateur que sur un smartphone Android ou Apple. On peut retrouver le bug d’un site, un long téléchargement qui prend une grande partie de la bande passante… Mais également le piratage du réseau. Les personnes qui vivent à la campagne devraient être plus tranquilles de ce côté-là. En revanche, les individus qui vivent à la ville et/ou dans des lotissements et des immeubles, le piratage d’un réseau WiFi est très fréquent.
Il faut savoir que pirater un réseau WiFi n’est (clairement) pas compliqué, quand on possède quelques compétences. Dans cet article, nous allons vous parler d’une application qui vous permet de connaître qui est connecté sur votre réseau WiFi, comment se protéger des pirates, mais également des astuces pour vous prémunir de ces méchants du web (à lire : les astuces Pokemon epoe !).

Découvrir qui utilise votre réseau Internet

Avant de crier au piratage, il est important de réaliser un petit contrôle de votre réseau Internet. Deux solutions existent :

• Utiliser la page de configuration de votre opérateur Internet,
• Recourir à une application Android.

Une application du nom de Fing – Outils réseau existe. Elle est simple d’utilisation et permet de connaître, très rapidement qui est connecté à votre réseau WiFi. Un certain nombre d’actions est disponible quand vous sélectionnez un appareil.
L’utilisation de la page de configuration de l’opérateur Internet est intéressante, car elle permet de bloquer plus facilement l’appareil. Dans notre cas, chez Orange, il faut taper « 192.168.1.1 » dans la barre d’adresse pour accéder à votre Livebox et réaliser les actions nécessaires.
Dans un cas comme dans l’autre, la finalité est la même : vous découvrirez, enfin, si vous êtes victime d’un piratage ou non.

Comment réaliser un blocage des personnes concernées ?

Pour ce faire, il faut connaître l’adresse MAC de l’appareil. C’est une suite de chiffres et de lettres qui sont sous cette forme : xx:xx:xx:xx:xx:xx (exemple : 00:1B:44:11:3A:B7). Pour ce faire, vous devrez vous connecter à la page de connexion de votre box Internet (ou de votre routeur si vous en utilisez un). Puis, dans la partie « Sécurité » (chez Orange, « Mon Wifi » puis « Wifi Avancé », il va y avoir une partie « filtrage MAC »). Vous l’activez et entrez les adresses MAC des appareils qui vous semblent suspects. Ces derniers ne pourront plus se connecter à votre box. Par contre, il faut être vigilant. Vous pourrez bloquer un téléphone portable connecté à votre WiFi (à votre insu), mais si la personne utilise une tablette, elle va pouvoir se connecter à votre réseau. L’adresse MAC est unique à chaque appareil. Ce qui veut dire qu’il va falloir relever toutes les adresses MAC suspectes et les filtrer.
Une fois que vous avez réalisé cette manipulation, vous allez pouvoir changer le mot de passe de votre WiFi puisque celui-ci a été découvert.

Comment se protéger d’un éventuel piratage ?

Il y a des règles simples pour empêcher des personnes malintentionnées de pirater votre réseau Internet (à lire : pirater un compte Snap, comment réagir ?). Quand vous recevez la box, il faut changer le mot de passe WiFi de votre réseau Internet avec un certain nombre de caractères qui sont : des chiffres, des lettres, des caracteres speciaux ou encore des minuscules et des majuscules. Il faut le rendre compliqué à cracker (= à pirater). On recommande des longues suites de caractères (minimum 12 caractères) pour compliquer la tâche aux mauvaises personnes.
Pour une meilleure sécurité, on encourage les utilisateurs à choisir le mode de cryptage « WPA/WPA2 », c’est un mode de sécurité bien plus important.
Il est possible, dans certains cas, de créer un réseau WiFi spécial pour les invités. Ainsi, quand ils viennent chez vous, vous leur donnez le réseau WiFi destiné aux invités et vous serez tranquilles. En procédant de cette manière, vous allez grandement optimiser votre sécurité et votre code WiFi ne sera pas communiqué à des tiers. Il ne faut pas oublier qu’un ami qui se fait pirater son téléphone peut avoir accès à votre réseau WiFi indépendamment de votre volonté.
Une autre astuce est de changer régulièrement le nom du réseau ainsi que le code WiFi. C’est une étape contraignante, car elle implique de mettre à jour tous les appareils qui sont connectés au WiFi de la maison… Mais la sécurité possède un coût, parfois inestimable.

Depuis qu’Apple a présenté son système « Continuité » et son application « Messages » il y a quelques années, les utilisateurs d’Android veulent (aussi) pouvoir contrôler quelques éléments de leur smartphone depuis leur ordinateur, à distance.
C’est une solution possible grâce à une application qui s’appelle AirDroid.
Nous vous la présentons dans cet article.

AirDroid : compatible Mac et PC

Le premier atout de cette application est qu’elle est compatible pour tous les ordinateurs. Pour les PC et les Mac, il y a une application développée qui leur est dédiée. Pour les autres systèmes d’exploitation, il n’y a pas d’inquiétude à avoir puisque l’éditeur a mis au point une application disponible sur le web : web.airdroid.com. Ainsi, tout le monde peut l’utiliser.
Sur votre smartphone Android, il faudra télécharger l’application, entrer son identifiant ainsi que son mot de passe. Puis, il faut se tourner vers l’ordinateur.
La configuration de cette application est très simple. Il suffit de se connecter sur l’application et de scanner le QR Code qui va bien avec. Il va vous demander la création d’un compte pour vous y connecter. Il est possible d’avoir plusieurs smartphones pour un compte.
Dès lors que la connexion est réalisée entre les deux appareils, c’est le moment de profiter des nombreuses fonctionnalités présentes.

Que peut-on faire avec AirDroid pour contrôler son Android à distance ?

AirDroid n’est pas une « petite » application. Elle permet de réaliser plusieurs actions comme le transfert de fichiers, le contrôle à distance du téléphone portable, l’envoi de SMS et la gestion des notifications, l’activation de l’appareil photo à distance et la possibilité de gérer son téléphone depuis une application web.
AirDroid est aussi une application qui utilise la technologie AirMirror. C’est une fonctionnalité très puissante. Avec AirMirror, il est possible de réaliser diverses actions comme l’assistance à distance pour un membre de la famille, le contrôle à distance du téléphone…

Transférer les fichiers à distance

Que ce soit pour une mesure de sécurité ou tout simplement parce que votre smartphone Android n’est plus fonctionnel, c’est le moment de réaliser des transferts de fichier. On peut déplacer des images, des vidéos, des films ou même des musiques.
Pour ce faire, rien de très compliqué : il suffit tout simplement de glisser-déposer le fichier, d’un dossier (de votre téléphone) à un dossier de votre ordinateur. Un simple geste, facile et acquis par toutes les personnes qui utilisent un outil comme l’ordinateur.

Contrôler à distance un appareil

Grâce à la technologie AirMirror, il n’est pas difficile de contrôler un smartphone à distance, bien au contraire. Il est possible de simplement visualiser l’écran du téléphone ou encore de prendre le contrôle avec un clavier pour rédiger des messages. C’est une application de contrôle très performante qui va satisfaire les personnes qui veulent manipuler le téléphone depuis l’ordinateur.

Envoyer des messages et des SMS depuis son ordinateur

Une fonction rendue possible avec Apple et iOS. Pour résumer en quelques mots – à lire : top des sites de compteur de mots ! – il s’agit d’une application qu’on trouve sur l’ordinateur, qui est connectée nativement à l’iPhone et qui permet d’envoyer des SMS et des iMessages à ses proches.
Avec Android, cette fonction n’était pas encore disponible en raison des multiples constructeurs présents, mais également des restrictions imposées par Google sur le système d’exploitation.
Grâce à l’application AirDroid, les limitations sont surpassées et il est possible d’envoyer des messages et de les recevoir sur son ordinateur. Une fonctionnalité très appréciée à la rédaction, pour échanger avec les différents collaborateurs.
Vous pourrez également recevoir toutes les notifications qui s’affichent sur le téléphone, directement sur l’ordinateur. Notre avis sur la question est assez mitigé : quand on possède beaucoup d’applications et qu’on ne fait pas le tri, on est vite distrait. C’est pourquoi il est important de bien gérer ses applications avec leurs notifications pour ne pas être envahi. Cela peut nuire à la productivité, notamment les étudiants ou les personnes qui travaillent sur un ordinateur.
Dans tous les cas, il n’y a plus aucune raison de manquer un message important. C’est le gros point positif.

Prendre des photos à distance

C’est une fonctionnalité un peu gadget. L’utiliser revient à prendre une photo dans l’environnement qui entoure l’ordinateur.
Pour certaines personnes, cette fonction peut avoir une véritable utilité.

Une application web performante

La possibilité de gérer tous les fichiers depuis une interface web est un gros plus. Surtout, qu’il suffit de se connecter à l’adresse web. Même si vous n’êtes pas chez vous, c’est possible. C’est un gros avantage, notamment pour les professionnels.

Une offre gratuite complète

La version gratuite est très complète et permet de contrôler son smartphone Android à distance très facilement. L’offre Premium permet des fonctionnalités en plus qui se destineront surtout aux entreprises.

Si les plus jeunes sont rompus naturellement à l’exercice du « surf » via un smartphone, ils n’en demeurent pas moins fragiles, influençables, et vulnérables. Comment les protéger efficacement des dangers inhérents à l’utilisation d’un téléphone de ce type ? État des lieux des risques encourus, et florilège des pratiques et outils les plus performants pour prémunir les enfants.

Jeunesse et smartphones : quels périls ?

Les pièges associés à l’utilisation de ces téléphones « intelligents » sont légion, à commencer par les troubles d’ordre médical ou psychologique qu’ils peuvent engendrer. Une utilisation abusive de ces appareils peut conduire à développer une addiction, et représente également une source de perturbation pour le sommeil, en particulier du côté des adolescents qui ont déjà naturellement des difficultés à se coucher tôt.

Le risque peut aussi être de nature financière : bon nombre de sollicitations à délivrer un numéro de carte bancaire existent sur Internet, et il est parfois compliqué d’y résister.

Enfin, des problèmes autrement plus graves peuvent être véhiculés par les smartphones, comme le harcèlement scolaire ou la prédation sexuelle.

Comment déjouer ces nombreux pièges numériques ? L’arsenal existe pour contrer d’éventuels problèmes.

Les outils pour protéger vos enfants

Ne pas confier un smartphone trop tôt à l’enfant

Premier rempart : l’âge. Ne pas céder de façon précoce à la volonté d’un enfant d’obtenir un smartphone, c’est la garantie de le prémunir des dangers associés jusque-là. Déterminer un âge idéal n’est pas aisé, mais beaucoup de psychologues s’accordent à penser qu’il faudrait idéalement attendre que l’adolescent ait treize ou quatorze ans, âge où le mobile devient un réel outil pour se sociabiliser.

Contrôle visuel et fermeté : un mélange sûr

Le premier outil de contrôle parental est vous-même. Empêchez votre enfant d’utiliser son téléphone la nuit (en le confisquant par exemple), n’admettez pas que le smartphone soit présent à la table des repas, et faites preuve d’autorité quand l’enfant/adolescent dédaigne une activité commune pour se focaliser sur son appareil mobile. Plus le temps accordé par l’enfant à son téléphone est encadré par ses parents, plus le risque de dérives est endigué. De la même façon, veillez à ne pas laisser traîner vos coordonnées bancaires, afin de prévenir toute tentation d’achat en ligne, comme dans certains jeux vidéo par exemple. Mais le plus important reste de sensibiliser ses enfants, et ce, le plus tôt possible, aux dangers de la vie numérique afin qu’ils développent eux-mêmes une attitude prudente et responsable, en particulier sur les réseaux sociaux.

Les applications : le numérique à la rescousse

À ne pas négliger : les outils numériques. Bon nombre d’applications de contrôle parental existent sur les boutiques en ligne des grandes plateformes, gratuites ou payantes. Comment faire son choix ? Les critères qui devraient retenir votre attention sont : 1/ le contrôle du temps passé sur le téléphone 2/ la visualisation du rapport d’activité pour avoir un regard omniscient sur tout ce que fait votre enfant 3/ la difficulté qu’aura votre enfant à contourner les protections déployées par l’application. Le site internet logicielespion propose un comparatif des principaux outils.

Une autre option à ne pas négliger est la possibilité qui vous est offerte de bloquer l’accès à internet du smartphone en question directement via l’opérateur téléphonique. Une solution radicale mais efficace en cas d’abus.

Quoi qu’il en soit, la mise en garde la plus importante reste celle qui émane du ministère de la Santé, lequel déconseille tout contact avec les écrans pour les enfants de moins de trois ans.

En raison de son cadre réglementaire plutôt flexible, le Canada a manifestement un terreau fertile pour l’industrie du jeu en ligne. (suite…)

Un grand nombre de fournisseurs de VPN vante un service qui permettrait de surfer sur le web sans laisser aucune trace. Un argument qui séduit de plus en plus de clients. Mais est-on vraiment anonyme sur internet avec un VPN ? La réponse risque de vous surprendre. (suite…)

Un grand moment de joie pour les gamers, car aux dernières nouvelles, Microsoft et Sony ont annoncé les lignes marquantes de leurs futures consoles de salon respectives, notamment la Xbox One S All-Digital et la nouvelle génération de PlayStation. (suite…)

Depuis aussi longtemps que les Mac existent, une légende perdure à leur propos : tels des guerriers invincibles, ces luxueux ordinateurs n’auraient pas besoin d’antivirus. Face à ce consensus, l’explication la plus commune est que les virus, en tant que fichiers avec extensions « .exe », sont impossibles à importer dans un Mac.

Mais cette vision des choses, bien qu’ancrée dans une certaine réalité, peut se révéler un peu trop simpliste. Hameçonnage, spywares, ransomwares, logiciels de plus en plus malveillants… Les menaces existent bel et bien, et ont tendance à se multiplier avec les années. Alors, est-il nécessaire d’avoir un antivirus sur un Mac ? Pour tout savoir à ce propos – tout savoir sur Stranger Things saison 4 – suivez le guide.

Vous avez un PC ? Vous cherchez un anti virus ? Androidetvous vous recommande cette lecture sur les meilleurs anti virus 2019.

Antivirus sur Mac : une démarche pas toujours nécessaire

L’infaillibilité des Mac, et leur résistance à tous types de virus, sont revendiquées et mises en avant par de nombreux utilisateurs et vendeurs… À commencer par la sacro-sainte compagnie-mère. Dans un communiqué récent, Apple utilisait cet argument de vente : « Les technologies avancées intégrées à macOS conjuguent en permanence leurs efforts pour surveiller, chiffrer, mettre à jour et garantir la sécurité de votre Mac. (…) Protéger votre Mac n’a jamais été aussi facile. »

En soit, c’est une réalité : les Mac sont moins sujets aux attaques que les PC. D’abord, parce que ces derniers sont plus nombreux, donc plus souvent visés. Ensuite, parce que macOS dispose du noyau Unix, dont la nature a été pensée pour qu’il soit très difficile à attaquer. Grâce à ce noyau, dans les quelques cas où un malware parvient à atteindre un Mac, il lui est quasi impossible d’en atteindre les fondations. Voilà pourquoi nous connaissons tous des utilisateurs qui possèdent un Mac depuis des années, sans jamais avoir rencontré le moindre problème de virus.

Antivirus sur Mac : avec les années, les menaces se multiplient

Il y a quelques années, le quotidien Le Monde publiait un article à propos de certains virus touchant les Mac. Il résumait ainsi la situation : « Nettement plus rares que leurs équivalents PC, les virus visant Mac OS, le système d’exploitation d’Apple, existent cependant. Depuis début mai, un maliciel appelé Mac Defender ou Mac Protector se faisant passer pour un antivirus se déploie sur Mac, provoquant un engorgement au service clients d’Apple »

Depuis, la situation a évolué. À mesure que les Mac deviennent plus populaires, et que leur utilisation se répand sur la planète, ils sont de plus en plus pris pour cible par les pirates. En 2014, on a beaucoup parlé de la faille « Shellsock Bash » qui avait affecté tous les macOS. Cette faille de type « Unix » permettait à quiconque de prendre le contrôle du Mac d’un tiers à distance… Et, notamment, d’en espionner le propriétaire via la caméra wi-fi intégrée.

Antivirus sur Mac : la fin d’un mythe ?

Ces dernières années, le phishing est devenu une pratique de plus en plus privilégiée par les pirates. Les Mac y font de moins en moins exception. On a aussi vu l’apparition de tentatives de piratages des données bancaires des usagers Mac, via des formulaires frauduleux. Quand l’utilisateur remplit un de ces formulaires, le pirate en récupère les données.

Pour ces raisons et bien d’autres, il est préférable d’équiper son Mac d’un antivirus en 2019. Même si les risques restent minimes dans le cadre d’une utilisation récréative, il serait dommage de se faire avoir par des tentatives de piratage censées ne toucher que les utilisateurs de PC. La fin d’un mythe ? Nous n’irons pas jusque-là ; nous nous contenterons de rappeler qu’en informatique comme ailleurs, il vaut mieux prévenir que guérir.